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Lettres de Grognard - Benoît Joseph LAMORAL
Un document historique inestimable pour tous les passionnés d'Histoire.
Benoît Joseph Lamoral est un simple soldat comme tant d’autres, qui sert la France pendant treize années. Il ne s’aventure pas dans des considérations élevées sur la stratégie ou la politique, mais s’attache plutôt à écrire ce qu’il vit, ce qu'il voit et ce qu’il sait. Il ne porte aucun jugement sur des événements qui de toute manière le dépassent.
Belge, il est né à Boussu en 1780 et meurt à Vilvoorde en 1831. Il est alors sergent dans la 1ère Compagnie Sédentaire d’Artillerie.
Comme ses lettres vont vous l’apprendre, il quitte ce monde après une vie extraordinaire et aventureuse, tant sur mer que sur terre. D’Anvers à Saint-Domingue, en passant par Brest, Bordeaux, Cadix et Trafalgar, en allant de Toulon à Leipzig, il a durant treize ans servi dans les armées françaises, sous les ordres suprêmes d’un certain Napoléon Bonaparte …qui viendra le surprendre dans sa baraque, à Bautzen en mai 1813.
De plus, chose extraordinaire pour l’époque, il est allé quatre fois "aux Amériques" en passant plus de dix ans en mer, comme artilleur de marine.
C'est à sa "très chère Mère" qu'il raconte sa vie, en lui adressant toutes les lettres reproduites ici.
Elles sont rédigées sur des feuilles de divers formats, avec des encres différentes et des écritures variées : avant mai 1809, ce n’est pas Benoît lui-même qui écrit, mais les "scribes" de sa compagnie.
Pour les mêmes raisons, l’orthographe est très aléatoire et souvent phonétique.
Le texte original de ses lettres est reproduit tel quel, même si la lecture n’en est pas aisée, pour garder toute l’authenticité de ce témoignage.
Voici donc, à travers cette correspondance et ses nombreuses annexes, une nouvelle occasion de découvrir la pénible vie quotidienne des soldats de Napoléon, sur mer comme sur terre.
Un document historique inestimable pour tous les passionnés d'Histoire.
Benoît Joseph Lamoral est un simple soldat comme tant d’autres, qui sert la France pendant treize années. Il ne s’aventure pas dans des considérations élevées sur la stratégie ou la politique, mais s’attache plutôt à écrire ce qu’il vit, ce qu'il voit et ce qu’il sait. Il ne porte aucun jugement sur des événements qui de toute manière le dépassent.
Belge, il est né à Boussu en 1780 et meurt à Vilvoorde en 1831. Il est alors sergent dans la 1ère Compagnie Sédentaire d’Artillerie.
Comme ses lettres vont vous l’apprendre, il quitte ce monde après une vie extraordinaire et aventureuse, tant sur mer que sur terre. D’Anvers à Saint-Domingue, en passant par Brest, Bordeaux, Cadix et Trafalgar, en allant de Toulon à Leipzig, il a durant treize ans servi dans les armées françaises, sous les ordres suprêmes d’un certain Napoléon Bonaparte …qui viendra le surprendre dans sa baraque, à Bautzen en mai 1813.
De plus, chose extraordinaire pour l’époque, il est allé quatre fois "aux Amériques" en passant plus de dix ans en mer, comme artilleur de marine.
C'est à sa "très chère Mère" qu'il raconte sa vie, en lui adressant toutes les lettres reproduites ici.
Elles sont rédigées sur des feuilles de divers formats, avec des encres différentes et des écritures variées : avant mai 1809, ce n’est pas Benoît lui-même qui écrit, mais les "scribes" de sa compagnie.
Pour les mêmes raisons, l’orthographe est très aléatoire et souvent phonétique.
Le texte original de ses lettres est reproduit tel quel, même si la lecture n’en est pas aisée, pour garder toute l’authenticité de ce témoignage.
Voici donc, à travers cette correspondance et ses nombreuses annexes, une nouvelle occasion de découvrir la pénible vie quotidienne des soldats de Napoléon, sur mer comme sur terre.
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