In Bonapartes Bericht vom 13. März 1799 an das Direktorium, über die Einnahme von Jaffa, steht nichts von einer Kapitulation der Besatzung:
Kurz: bei Tagesanbruch des 17. ventôse VII (7. März 1799) ließ Bonaparte den Gouverneur der Festung zur Kapitualtion auffordern, dieser ließ stattdessen den Überbringer enthaupten. Um 7 Uhr begann der Beschuß, um 13 Uhr war die Bresche groß genug für den Sturm, um 17 Uhr war die Stadt genommen.
Die Stadt wurde 24 Stunden lang zur Plünderung freigegeben, 4000 Mann der Truppen Djezzars wurden getötet, auch ein Teil der Bevölkerung wurde massakriert.
Bonaparte zitiert einige Beispiele, bei denen er Besiegten verziehen hatte, auch der Bevölkerung von Jaffa gegenüber war er gnädig, "doch streng gegen die Garnison, die sich [nur] mit Waffengewalt hat bezwingen lassen."
A la pointe du jour, le 17 , je fis sommer le gouverneur; il lit couper la tête a mon envoyé , et ne répondit point. A sept heures, le feu commença ; a une heure je jugeai la brèche praticable. [...]
A cinq heures , nous étions maîtres de la ville, qui, pendant vingt-quatre heures , fut livrée au pillage et à toutes les horreurs de la guerre , qui jamais ne m'a paru si hideuse.
Quatre mille hommes des troupes de Djezzar ont été passés au fil de l'épée ; il y avait huit cents canonniers : une partie des habitans a été massacrée. [...]
J'ai pardonné aux mameloucks et aux kachefs que j'ai pris à El-Arich ; j'ai pardonné à Omar Makram, cheikh du Caire j j'ai été clément envers les Egyptiens, autant que je l'ai été envers le peuple de Jaffa, mais sévère envers la garnison qui s'est laissé prendre les armes à la main.
A cinq heures , nous étions maîtres de la ville, qui, pendant vingt-quatre heures , fut livrée au pillage et à toutes les horreurs de la guerre , qui jamais ne m'a paru si hideuse.
Quatre mille hommes des troupes de Djezzar ont été passés au fil de l'épée ; il y avait huit cents canonniers : une partie des habitans a été massacrée. [...]
J'ai pardonné aux mameloucks et aux kachefs que j'ai pris à El-Arich ; j'ai pardonné à Omar Makram, cheikh du Caire j j'ai été clément envers les Egyptiens, autant que je l'ai été envers le peuple de Jaffa, mais sévère envers la garnison qui s'est laissé prendre les armes à la main.
Die Stadt wurde 24 Stunden lang zur Plünderung freigegeben, 4000 Mann der Truppen Djezzars wurden getötet, auch ein Teil der Bevölkerung wurde massakriert.
Bonaparte zitiert einige Beispiele, bei denen er Besiegten verziehen hatte, auch der Bevölkerung von Jaffa gegenüber war er gnädig, "doch streng gegen die Garnison, die sich [nur] mit Waffengewalt hat bezwingen lassen."
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