Bernard Coppens: Les mensonges de Waterloo.

Einklappen
X
 
  • Filter
  • Zeit
  • Anzeigen
Alles löschen
neue Beiträge
  • Sans-Souci
    Erfahrener Benutzer
    Major
    • 01.10.2006
    • 1850

    #46
    Hier schonmal der Bericht Marbots acht Tage nach der Schlacht (nur auf Französisch):

    Kommentar

    • Harper
      Erfahrener Benutzer
      Sergent-Major
      • 12.07.2012
      • 180

      #47
      Zitat von Gunter Beitrag anzeigen
      Noch eine Frage von meiner Seite. Was soll eigentlich die Erörterung, dass Lobau etc. die Preußen in Schach zu halten hatten, damit der Rest die Briten usw. schlagen konnten? Selbst wenn das geklappt hätte, wären die Preußen doch immer noch in der Flanke und möglicherweise sogar im Rücken gewesen. Es fällt mir schwer zu glauben, dass die zu diesem Zeitpunkt zwingendermaßen abgekämpfte und in Unordnung befindliche Armee noch große Bewegungen ausführen konnte, um auch noch die Preußen zu schlagen. Die Schlacht war doch praktisch schon verloren als Bülow auftauchte, gerade weil allein deshalb nicht mehr genug Reserven zur Verfügung standen um Wellington zu besiegen. Alles was auch nur halbwegs nach einem Unentschieden aussah, kam für Napoleon einer strategischen Niederlage gleich. Dass es noch schlimmer kam und er sogar eine taktische Niederlage erlitt, hatte er sich selbst zuzuschreiben. Ein Rückzug angesichts von Bülows Auftauchen hätte die Moral der Armee wohl nur schwer verkraftet und der Krieg wäre so oder so verloren gewesen.

      Grüße

      Gunter
      Ausgehend von den preussischen Quellen begannen die Kämpfe zwischen dem 6. Korps und dem 4. Armeekorps etwa gegen 16.30 Uhr, mithin etwa zeitgleich oder etwas versetzt mit den Angriffen Milhaud`s und Lefèbvre -Desnouettes. Zu diesem Zeitpunkt aber war die französische Armee weder in großer Unordnung ( vom 1. Korps mal abgesehen ) noch verfügte sie über keine Reserven mehr.

      Kommentar

      • HKDW
        Erfahrener Benutzer
        Colonel
        • 02.10.2006
        • 2971

        #48
        Die Affäre Marbot, ich verweise auch auf Mephistos Beitrag weiter ob.

        Von einem Chef d'escadron der 7. Husaren wissen wir, dass überhaupt keine Aufklärung erfolgte - und dass sie gegen 16:30 von den Preußen überrascht wurden.

        « Un chef d’escadron du 7e hussards, Dupuy, placé à l’aile droite de l’armée raconte avoir vu Domon l’après-midi. Il n’était donc par partis reconnaître des troupes ennemies menaçant le flanc droit : « Jusque vers quatre heures, nous restâmes paisibles spectateurs de la bataille. Dans ce moment le général Domon vint à moi ; le feu des Anglais était à peu près cessé ; il me dit que l’affaire était gagnée, que l’armée ennemie était en retraite, que nous étions là pour faire jonction avec les corps de maréchal Grouchy et que nous serions le soir à Bruxelles, il partit. (Fußnote 9, Dupuy (Victoir) Souvenirs militaires, Paris 1892, page 290) » Coppens – S. 190
        « On ne trouve toujours pas, dans ce témoignage, la trace d’une préoccupation concernant une possible attaque prussienne sur le flanc droit. Pourtant, elle se produit bientôt : « Peu de moments après, au lieu de faire jonction avec les troupes du maréchal Grouchy comme nous nous y attendions, nous reçûmes l’attaque d’un régiment de hulans prussiens. Nous le repoussâmes vigoureusement et lui donnâmes la chasse, mais nous fûmes forcés à la retraite par le feu à mitraille de six pièces de cannon, derrière lesquelles les hulans se replièrent. (Fußnote 11 Dupuy (Victore), Souvenirs militaires, paris 1892, page 290 ) – Coppens, S. 243

        Der Chef der 7. Husaren ist ja Marbot - der fast bis St. Lambert geritten sein sollte und den oder die ominösen schwarzen preußischen Husaren aufgebracht haben soll. Doch was schreibt dieser Offizier in einem Brief vom
        26. Juni?

        Laon, 26 juin 1815.
        Je ne reviens pas de notre défaite!... On nous a fait manœuvrer comme des citrouilles. J'ai été, avec mon régiment, flanquer de droite de l'armée pendant presque toute la bataille. On m'assurait que le maréchal Grouchy allait arriver sur ce point, qui n'était gardé que par mon régiment, trois pièces de canon et un bataillon d'infanterie légère, ce qui était trop faible. Au lieu du maréchal Grouchy, c'est le corps de Blücher qui a débouché!... Jugez de la manière dont nous avons été arrangés!... Nous avons été enfoncés, et l'ennemi a été sur-le-champ sur nos derrières!... ...


        Er ist schon mal sehr selbstkritisch und merkt an dass sie wie Deppen oder Töpel manövriert haben - rein gar nichts von der glorreichen Gefangennahme der preußischen Husaren, das ist doch erstaunlich, zudem gibt er ja auch zu, dass sie von den Preußen überrascht wurden.
        Seine Beobachtungen decken sich ja mehr oder weniger mit der von seinem Chef d'escadron Dupuy.

        Dazu noch der passende Kommentar von Bernard Coppens zu diesen Brief :

        La lettre qui suit a été publiée dans le tome III des Mémoires du général Marbot. On remarquera qu'il y dit qu'il était flanqueur de droite, et qu'on l'avait assuré que le maréchal Grouchy devait arriver. Ce qui montre qu'il n'a pas effectué de reconnaissances, contrairement à ce qu'il prétendra en 1830 : il était trop faible pour ça, et d'ailleurs "on" l'avait "assuré". Au lieu de Grouchy, c'est Blücher qui débouche... Surprise totale, donc, et manque de reconnaissance sur la droite. Il semble bien que les flancs de l'armée n'étaient en rien assurés. Et ça, c'est une grosse faute... le genre de faute qui peut entraîner les conséquences les plus lourdes.

        Dazu braucht man wohl wenig sagen, außer voller Zustimmung.

        Der Chef der 7. französischen Lanzenreiter, Oberst Bro trifft Anfangs Juli Marbot in Paris, folgendes weiß er dazu zu berichten :

        « Colonel au 7e hussards, ton ancien régiment, je restai à la droite, arrêtant le flot humain qui voulait nous d´border, lui répondit Marbot. Le soir, j’eus à charger les Prussiens. Je sortis de cette affaire avec un coup de lance au côté droit. » (Fußnote 4, Mémoires du général Bro, Paris 1914, page 153) Coppens – S. 376

        Wieder nichts von den gefangenen Husaren - wohl eher am frühen Nachmittag - anstatt dessen - hat er erst am Abend die Preußen attackiert!!!

        Als Grouchy 1830 bei Marbot Erkundigungen einzog um sich damit entlasten zu können bekam er eine ganz andere total gegensätzliche Antwort und die besagte Lügenstory.

        Wie kommt es zu dieser Wendung??

        « Mais dans les dictées de Sainte-Hélène, Napoléon va mettre au point un récit qui, bien qu’invraisemblable, va se révéler d’une redoutable efficacité, puisqu’il correspondra mieux à son image mythique, ce qui a pour effet de neutraliser l’esprit critique. Cette fois, ce serait lui-même qui, de son regard de l’aigle, aurait aperçus les Prussiens à Chapel –le-Saint-Lambert. Après avoir envoyé la division Domon (on a vu par le témoignage du chef d’escadron Dupuy qu’il n’en est rien), un hussard noire prussien capturé lui aurait été envoyé : « Ce hussard était porteur d’une lettre ; il était fort intelligent et donna de vive voix tous les renseignements que l’on pût désirer (Fußnote 5, Mémoires pour servir à l’histoire de France en 1815, page 82) » Coppens – Seite 377
        « Napoléon trouvera, pour confirmer cette histoire invraisemblable, un allié de choix dans la personne du général Marbot, celui-là même qui jugeait « on » l’avait fait manœuvre comme une citrouille à Waterloo. » Coppens – S. 377

        Wer anders als Bernard Coppens könnte dies treffender kommentieren :

        « D’ailleurs il ne s’agit même plus d’un hussard, mais de « plusieurs hommes dont un officier « . Le mensonge est d’autant plus flagrant que l’itinéraire précis du détachement du capitaine Eloy, que Marbot prétend avoir expédie à Moustiers, l’aurait immanquablement fait tomber dans le corps de Bülow. Marbot a menti. (Fußnote 6, Voir mon étude à ce sujet dans : Carnets de la campagne, no 4, La Papelotte, Ed. de la Belle Alliance, Bruxelles, 2000) – Coppens – s. 377 – 378
        « Pourquoi Marbot a-t-il menti ? Par dévouement à l’Empereur, sans doute. On veut croire que le 100 000 francs accordés par le testament de napoléon à Marbot pour qu’il continue à écrire « pour la défense de la gloire des armées françaises », fort somme qu’il a effectivement touchée, n’auront été perçus que comme un « signal fort »de la nécessité d’adapter la vérité à des intérêts supérieurs. »
        Coppens – s. 378

        Dann noch die ominöse schwarze Husarenuniform, ja hätte der gute alte Napoléon vielleicht nicht so detailreich lügen sollen und nur bei einen preußischen intelligenten Unteroffizier der Husaren bleiben sollen, der frank und frei mit fester Stimme alles berichtete was der Kaiser wissen wollte - da lachen doch die Hühner.
        Laut Ollis Beitrag - trug keiner der 2. Schlesischen Husaren eine schwarze Uniform, aber aus dramaturgischen Gründen ist Napoleon dann doch lieber bei schwarz geblieben, der Nimbus schwarzer Husar -so dachte er wohl, kommt besser an als ein schlichter grüner Husar.

        Zusammenfassung, weder der Brief vom 26. Juni, noch das Treffen mit Bro in Paris erwähnen überhaupt eine Aufklärung geschweige denn die Gefangennahme von preußischen Husaren, Marbot kommt sich wie ein Tölpel vor - citrouilles - unterstützt wird das auch noch von Chef d'escadron Dupuy.

        Doch dann die Kehrtwendung als Napoleon einen Zeugen braucht - um sein Lügennetz zu verdichten, leider nun hat Marbot den Brief von 26. Juni geschrieben und auch Bro berichtet ganz andere Worte Marbots.

        Kommentar

        • Mephisto
          Erfahrener Benutzer
          Capitaine
          • 01.10.2006
          • 625

          #49
          Bezgl. SIBORNE
          Ich habe die Waterloo Letters durchgesehen, weil ich mich daran erinnern konnte,
          dort etwas über Sichtlinie gelesen zu haben.
          Leider handelte es sich dabei aber nur um die nachträgliche Überprüfung der Sichtlinie zwischen Quatre Bras und Brye.
          Saint-Lambert wurde nicht angesprochen.

          Bezgl. MARBOT
          Danke, HKDW, Coppens hat sich schon in den Recit Critque über die mangelhafte Glaubwürdigkeit von Marbot ausgelassen.
          Das Testament versetzt seiner Glaubwürdigkeit allerdings den Todesstoss...
          Wie sieht es denn mit Baudus aus? Hat sich Coppens dazu auch geäußert.
          In den Recit Critique wird Baudus in diesem Zusammenhang nicht erwähnt.

          Bezgl. 1:00 Uhr-ORDER
          Nehmen wir an, die Preußen sind tatsächlich nicht gesehen worden.
          Der Nachsatz in der 1:00 Uhr-Order spricht von einer abgefangenen Meldung.
          Der angebliche Inhalt der Meldung entspricht den 3 oder 4 nachweisbaren Meldungen,
          die Bülow im Laufe des Vormittags an Wellington gesandt hat. (Siehe Pflug-Hartung).
          Napoleons „schwarzer Hussar“ ist in Frage gestellt.


          Nehmen wir nun weiter an, auch den Husaren hat es nicht gegeben.
          Von wem und wann soll nun die Nachricht verfälsch worden sein?
          Grouchy zitiert den Befehl INKL. Nebensatz in seinen Relation Succincte von 1843.
          Der Befehl gehört zu seinen “pieces justificatives“.
          Wie er selber sagt, hat er sich schon bei seinen vorherigen Erinnerungen darauf bezogen
          und sich in der Zeit seiner Verbannung Kopien dieses Befehls von seiner Frau und General Carbonnel schicken lassen.
          Warum sollte er diesen Nachsatz gedeckt haben - ausgerechnet er?

          Bezgl. LOBAU / 6.Korps
          Ich habe bei Thurn und Taxis eine schöne Passage gefunden,
          nach der die Preußen das Lobausche Korps tatsächlich haben beobachten können, als dieses rechts machte.
          Dies geschah nach T&T erst als der Angriff der Preußen anlief.
          Wie steht es nun mit Befehlen und/oder Erinnerungen Lobau, seiner Div.-Generale oder Domon und Subervie aus?
          Kann hier jemand etwas beisteuern?
          Zuletzt geändert von Mephisto; 04.10.2012, 12:09.
          Gruß
          Mephisto

          "Es sind zwey Formeln, in denen sich die sämmtliche Opposition gegen Napoleon befassen und aussprechen lässt,
          nämlich Afterredung (aus Besserwissenwollen) und Hypochondrie." Goethe 1807 :attention:

          Kommentar

          • HKDW
            Erfahrener Benutzer
            Colonel
            • 02.10.2006
            • 2971

            #50
            Zum 6. Corps kann ich schon was beisteuern, Coppens liefert da sehr viel brauchbares - aber dafür brauche ich mal wieder etwas Zeit.

            Auch Baudus ist egal, wie auch Soult, wie eben auch Napoléon - alles Ablenkungsmannöver - nur nicht nachdenken, nur nicht zum Schluß kommen, dass es unmöglich war - weil man einfach nicht damit gerrechnet hat UND aus topografischen Gründen - die Preußen um 13:00 gesehen zu haben.

            Wäre dies tatsächlich durch eine Wundererscheinung möglich gewesen - müßte man komplett vom Glauben abfallen, wegen des Nichtbeachtnes dieses Wunders - und dem vollständigen Mangel an geeigneten Gegenmaßnahmen, weder Domons Kavallerie, noch Marbot oder sonstwer haben aufgeklärt noch geeignete Passagen besetzt, siehe auch Thurn und Taxis.

            Das Testament versetzt nicht den Todesstoß Marbots, sondern dessen Brief am 26. Juni, die citrouilles und sein Gespräch mit Bro in Paris, wie eben auch dass nichts und rein gar nichts von französischer Seite geschah rechtzeitige Abwehrmaßnahmen einzuleiten.

            Napoleons schwarzer Husar ist nicht nur in Frage gestellt auch dieser ist erstunken und erlogen, wo soll er denn bitte herkommen und wer soll ihn abgefangen haben - ist doch alles eine Lachnummer.
            Zuletzt geändert von HKDW; 04.10.2012, 13:37.

            Kommentar

            • muheijo
              Erfahrener Benutzer
              Capitaine
              • 01.10.2006
              • 553

              #51
              Wenn ich das also jetzt richtig zusammenfasse, soll Waterloo in etwa so abgelaufen sein:

              - Napoleon hat die Preussen nach Ligny fuer die næchsten 2 - 3 Tage vollkommen abgeschrieben. Mit der Nachsendung von Grouchy ging er davon aus, dass er mit diesen solange keine Schwierigkeiten haben werde, bis die Englænder geschlagen wurden, wo auch immer.

              - Demzufolge war es fuer N nicht einmal theoretisch denkbar, dass die Preussen am 18. auf dem Schlachtfeld bei Waterloo auftauchen wuerden, auch Grouchy muesste er dann nicht erwartet haben.

              - Dass die Englænder am 18. auf einmal schlachtbereit waren, war fuer N zwar ueberraschend, aber dann doch gerne angenommen worden.
              Nach seiner Meinung hatte er ja alle Zeit der Welt, diese am 18. zu besiegen.

              So in etwa richtig?

              Mir kommt das alles høchst unprofessionell vor. Keinerlei Vorsichtsmassnahmen aufgrund von Durchspielen anderer Møglichkeiten, z.B. ein Rueckzug der Preussen Richtung Wellington?
              Konnte er sich so wenig in den Gegner hineinversetzen? Er hætte sich doch 100% genauso abgesetzt, wie die Preussen es dann taten.
              Und dann die riesen Ueberraschung um 16.30 Uhr?

              Zu Lobau: Wenn man von Preussen nichts befuerchtet oder gar gewusst haben will, wieso will man man ihn dann am Schluss auch noch in's Zentrum schicken, wo alle anderen Angriffe zuvor gescheitert waren? Warum nicht Wellingtons rechte Flanke umgehen/angreifen, also da, wo dann die Preussen auftauchten?

              Ich mag es nicht einsehen, dass N die Preussen bis 16.30 vøllig ausgeschlossen haben will.

              Gruss, muheijo

              Kommentar

              • HKDW
                Erfahrener Benutzer
                Colonel
                • 02.10.2006
                • 2971

                #52
                Bitte les dochmal das Buch von Bernard Coppens, da lief einiges völlig unprofessionell in der französischen Armee, deine ersten Gedanken sind völlig zutreffend - denn sie werden ja durch Zeitgenossen bestätigt.
                Man muss halt auch Napoléon eher nüchtern sehen, er war 1815 total verbraucht und schon längst am Ende.

                er hat die Nacht vom 17. zum 18. im Bett verbracht und nicht wie später berichtet die Gegend erkundet, er hat nur noch das geglaubt was ihn durch den Kopf ging, alle anderen Annahmen hielt er für falsch.

                Napoleon hat die Preußen völlig ausgeschlossen, überzeugen meine Zitate und seine eigene Handlung so wenig?

                Marbot berichtet nichts - sondern kommt sich wie ein Tölpel vor, der Chef d'escadron der 7. Husaren Dupoy auch nicht, Domon der bis gegen 6000 Meter mit seinen Reitern vor den französischen Linien erkundet haben soll - unterhält sich noch um 16:00 Uhr mit eben oben genannten Offizier.
                Das 6. Korps unternimmt oder ist im Begriff - einen Angriff zu unternehmen und wird von den Preußen überrascht, Napoleon selbst ja auch, wie ich schon oben aufgeführt habe. Jérômes Einwände am 18. Juni in der Früh werden abgetan, Napoleon weiß alles besser, das bringt ihn ja auch schließlich den Untergang.

                Kommentar

                • HKDW
                  Erfahrener Benutzer
                  Colonel
                  • 02.10.2006
                  • 2971

                  #53
                  So nochmal zu den nicht beachteten Preußen, Bülow selbst war ja vollständig überrascht über diese Nichtbeachtung, die Zitate siehe weiter oben.

                  Erst durch das berühmte Buch Gougauds werden die Preußen aufmerksam, dass Napoleon angeblich schon um ca. 13:00 Uhr von ihrer Ankunft gewußt haben soll, bis dahin waren sie - druch die vollkommene Untätigkeit Napoleons immer felsenfest vom Glauben ausgegangen sie hätten ihn überrascht (was auch stimmt)

                  « Dans le récit dicté par Napoléon à Gourgaud et publié par celui en 1818 en lit :
                  « Dans ce moment (Fußnote 5, L’heure n’est pas précisée, mais se situerait entre onze heures et midi) on aperçoit fort au loin, du côté de St. Lambert, un corps de cinq à six milles des hommes de toutes armes. « Coppens – S. 188

                  Darauf schreibt ein preußischer Offizier - wahrscheinlich ein Übersetzer folgenden Kommentar :

                  « C’était le première fois que cet élément introduit dans l’histoire de la bataille de Waterloo. Dans le livre de Gourgaud publiée à Berlin en 1819, avec des notes par un officier allemand, on lit le comment aux suivante : « Ce fait nouveau. Jusqu’ici on n’avait pas cru que l’armée française avait été instruite du mouvement des Prussiens avant leur arrivée sur le champ de bataille. Cette supposition avait principalement appuyée parce qu’en arrivant le corps de Bülow trouva si peu ou presque pas de troupes qui lui furent opposées. » Coppens – S. 189

                  Napoléon kann ja schlecht zugeben, dass er seinen eigenen Wahnvorstellungen blind gefolgt ist und alle Warnungen in den Wind geschlagen hat, er muss folglich auch was erfinden um seinen "Ruhm" nicht zu verlieren.

                  Ich sags nochmal ganz deutlich, wenn Napoleon schon um 13:00 Uhr von den Preußen gewußt hätte (abgesehen dass er sie von seinen Standpunkt nicht sehen konnte, das Domon nicht aufgeklärt hat und dass auch Marbot keine Gefangenen einbrachte) wieso hat er dann keine entsprechenden Gegenmaßnahmen eingeleitet um den preußischen Aufmarsch an geeigneter Stelle zum Stoppen zu bringen, Thurn und Taxis schreibt über die prekäre Lage Bülows die Geländehindernisse zu überwinden folgendes :

                  « Le Prince von Thurn und Taxis, attaché militaire bavarois au quartier général du maréchal Blücher, écrit : « Le chemin descendait de façon abrupte d’une hauteur dans la vallée du ruisseau de la Lasne, puis immédiatement après avoir passé celui-ci, il remontait de façon aussi abrupte, il faut ajouter à cela que le chemin était très étroit et en mauvais état. Ce défilé nous retint de façon extraordinaire et nous eûmes une peine incroyable à faire monter l’artillerie sur la hauteur en question.
                  Un pétit détachement ennemie aurait pu nous disputer ici le passage toute la journée. (Fußnote 15, Thurn und Taxis (Prinz August von) Aus den Feldzügen 1812 bis 1815, Leipzig 1912) « Coppens S. 245

                  Und Bernard Coppens, wie auch jeder der kritisch nachdenkt frag sich:

                  «Où sont donc passées les divisions Domon et Subervie que Napoléon prétend avoir envoyées hors des lignes francaises, à trous mille toises ? » Coppens S. 245

                  Klar sie waren nicht da - sondern woanders nämlich viel weiter hinten.

                  Auf das Gespräch mit den Chef d'escadron Dupuy habe ich mehrmals hingewiesen, gegen 16:00 geschah dann folgendes :

                  « Un peu plus tard, le comte de Lobau, commandant la droite à Waterloo, fit dire à l’Empereur qu’il était attaqué par les Prussiens. Napoléon ne voulait pas d’abord admettre que la chose fût possible. Lobau dit à M. de Caronne, un de ses officiers : « Faites un prisonnier et portez-le-lui, peut-être sera-t-il convaincu (…) (Fußnote 2, Bourdon de Vatry, cité dans les Mémoires du maréchal Grouchy, tome 4, 1874, page 108) » Coppens – S. 238

                  Diese Aussage wird ja auch vollkommen durch die von Manduit gestützt.

                  Janin im Stab des 6. Corps schreibt folgendes :

                  « Le colonel Jamin, sous – chef d’état-major du 6e corps écrit : « Le 6e corps se porte en avant pour soutenir l’attaque du centre à peine est-il arrivé sur la crête de ravin qui sépare les deux armées que son chef d’état-major, le général Durieux, qui l’avait devancé, revient blessé et annonce que de tirailleurs ennemies s’étendant sur notre flanc droit. Le comte de Lobau s’avance avec le général Jacquinot et moi pour le reconnaître, et bientôt nous voyons déboucher deux colonnes d’environ dix milles hommes chacune : c`´était le corps prussiens de Bulow. La destination du 6e corps se trouve changé par cet incident : il ne s’agissait plus de continuer l’attaque contre les Anglais, mais bien de repousser celle des Prussiens : en un mot par la force de choses nous étions réduits à la défensive la plus défavorable et dont le résultat n’était plus douteux. ( …) (Fußnote 8, Janin, Campagne de Waterloo ou Remarques critiques et historiques sur l’ouvrage du général Gourgaud, Paris 18120, page 35.) » Coppens – S. 242

                  Wenn das keine Überraschung ist was sonst? Das 6. Corps hatte eben eine andere taktische Aufgabe erhalten als die Preußen aufzuhalten, sie sollten Wellington attackieren - wo genau - da hab ich spekuliert, mit dem Zentrum, es kann auch gut die linke Flanke Wellingtons gewesen sein.

                  Ich hebe hervor : La destination du 6e corps se trouve changé par cet incident : il ne s’agissait plus de continuer l’attaque contre les Anglais, mais bien de repousser celle des Prussiens.

                  Also - Napoleon war überrascht - wie auch Lobau - und hätte Napoleon durch übernatürliche Fähigkeiten bereits um 13:00 Uhr von den Preußen gewußt wäre die vollkommende Untätigkeit seiner Seite noch viel unerklärlicher als die Überraschung.

                  Ein weiterer Stabsoffizier des 6. Corps schreibt folgendes :

                  Quant au Colonel Combes-Brassard, l’autre sous-chef d’état-major du 6e corps, il écrit : « Le 6e corps, formant la réserve, marcha pour soutenir l’attaque à droite. Ce corps était composé entièrement d’infanterie. Il était trois heures et demie, un feu infernal s’étendait sur toute la ligne des deux armées. Le 6e corps achevait de se déployer en réserve sur toute la droite de l’armée, lorsque, me rendant à la extrémité de notre droite, je reconnus des têtes de colonnes qui débouchaient du côté de Vavres, par Ohain et Saint-Lambert.
                  Ces colonnes étaient prussiennes. Leur arrivée se produisait sans que l’Empereur eût donné aucun ordre. Nous étions tournes. (Fußnote 9, Combes-Brassard. Notices sur la bataille de Mont-Saint-Jean (récit rédigé le 22 juin 1815, dans Souvenirs et Correspondance sur la bataille de Waterloo, Librairie historique Teissèdre, Paris 2000. ) » Coppens, S. 242

                  Auch hier kein Wort von geplanten Verteidigungsaktionen gegen die Preußen sondern : Nous étions tournes.

                  Ich hoffe Mephisto bringt das Zitat aus der Quelle von Thurn und Taxis auch wörtlich, damit ich es kopieren kann in meine Word Datei.

                  Das Buch von Bernard Coppens bringt noch viel viel viel mehr, man muss es meines erachtens auch lesen - um den Ablauf der Schlacht besser zu verstehen.
                  Zuletzt geändert von HKDW; 04.10.2012, 21:21.

                  Kommentar

                  • Mephisto
                    Erfahrener Benutzer
                    Capitaine
                    • 01.10.2006
                    • 625

                    #54
                    Archivalische Beiträge zur Geschichte des Feldzuges 1815 von Julius Pflugk-Harttung
                    Veröffentlicht in Jahrbücher für die deutsche Armee und Marine, Berlin 1906

                    Nr.3, Aus dem Tagebuch des Fürsten von Thurn und Taxis, Juni 15.-18.

                    „Endlich, es war ungefähr ½ 5 Uhr, entschloss sich der Feldmarschall und General Bülow, die durch den ungefähr eine habe Stunde tiefen Wald
                    vorgegangen waren, von wo aus man die ganze Linie beobachten konnte, und denen es schien (wie es denn auch der Fall war),
                    dass der Feind einiges Terrain gewonnen, den Angriff zu unternehmen, obschon nur zwei Brigaden heran waren. – Ich glaube, es war Zeit.
                    Man fing sogleich an, eine Batterie durchfeuern zu lassen, damit der Herzog avisiert sein könnne, und unmittelbar darauf wurde vorgerückt.
                    Das Terrain steigt jenseits des Waldes wieder terrassenförmig in das Tal hinab, in welchem das Dorf Planchenoit liegt.
                    Eine feindliche Kavallerieabteilung von ca. 150 Pferden kam aus demselben gerade in diesem Moment die Höhe herauf,
                    wahrscheinlich um, (wozu es freilich nun etwas spät war) eine Rekognoszierung zu machen.
                    Selber mochte es etwas unerwartet sein, daß schon so viel Truppen von uns debouchiert hatten.
                    Sie stutzte und kehrte um, wir folgten, und bald öffnete sich die Gegend noch mehr für uns, im Verhältnis, als wir vom Plateau herabstiegen.
                    Wir hatten dicht vor uns Planchenoit, jenseits dieses Ortes erhebt sich das Terrain wieder bis zu der großen Strasse,
                    die von Quatre-Bras nach Brüssel führt und deren Direktionslinie uns jetztschon ganz deutlich bemerkbar war.
                    An dieser Chaussee befand sich ein fanalartiges Gerüst nahe bei einer Meierei, Belle Alliance genannt.
                    Hier konnten wir die feindliche Reserve in dichten Massen aufgestellt erblicken, nämlich sämtliche Garden und das 6.Korps.
                    Hier war es auch, von wo Napoleon bis dahin (und noch später, bis gegen 7 Uhr) die Schlacht beobachtet und geleitet hatte.
                    Wir waren so nahe, daß wir den Moment bezeichnen konnten, in welchem das 6.Korps rechtsum machte und,
                    um unserem Vorrücken Einhalt zu tun, sich auf Planchenoit in Bewegung setzte.
                    Wir befanden uns also in der rechten Flanke der feindlichen Reserven und folglich im Rücken seiner engagierten Truppen,
                    deren Feuerlinie zu unserer Rechten, freilich etwas weit, gut sichtbar war.
                    Ich glaube, daß in diesem Augenblick noch keine feindliche Infanterie in Planchenoit war,
                    und daß man die zunächststehenden 2 Bataillone hätte hineinwerfen können.
                    Allein selbe würden wahrscheinlich wieder vom Feinde herausgedrängt worden sein, da wir sie noch nicht gehörig hätten soutenieren können.
                    Man begnügte sich also für den Moment, ein starkes Geschützfeuer in das eben vom Feinde besetzt werdende Dorf zu etablieren.
                    Kurz hierauf, es mochte nahe an 6 Uhr sein, als unsere Kolonnen eben anfingen, endlich in größerer Anzahl aus dem Walde hervorzukommen,
                    traf eine wenig erfreuliche Meldung von General Thielmann ein, daß er im Moment, wo er sich angeschickt, unserer Direktion zu folgen,
                    von einem bedeutenden feindlichen Korps heftig angegriffen worden, so zwar, daß man sich schon um den Besitz von Wavre schlage,
                    und er demnach um Sukkurs bitte.“
                    "Napoleon hat die Preußen völlig ausgeschlossen, überzeugen meine Zitate und seine eigene Handlung so wenig?"
                    HKDW, Du ignorierst (absichtlich) den Bertrand Brief vom 17ten und die darin enthaltenen Anweisungen an Grouchy. (Auch dies eine Handlung Napoleons.)
                    Du ignorierst Zeugen wie Baudus oder das P.S. im 1:00 Brief vom 18ten.
                    Das ist keine nach allen Seiten aufgeschlossene sonder eine sehr einseitige Einstellung.
                    Das kannst Du sicher auch besser...;-)
                    Zuletzt geändert von Mephisto; 04.10.2012, 22:34.
                    Gruß
                    Mephisto

                    "Es sind zwey Formeln, in denen sich die sämmtliche Opposition gegen Napoleon befassen und aussprechen lässt,
                    nämlich Afterredung (aus Besserwissenwollen) und Hypochondrie." Goethe 1807 :attention:

                    Kommentar

                    • Sans-Souci
                      Erfahrener Benutzer
                      Major
                      • 01.10.2006
                      • 1850

                      #55
                      Zitat von Thurn und Taxis Beitrag anzeigen
                      An dieser Chaussee befand sich ein fanalartiges Gerüst nahe bei einer Meierei, Belle Alliance genannt.
                      Natürlich wäre es theoretisch möglich, daß man oben von diesem Observatorium aus Chapelle-Saint-Lambert sehen kann.

                      Es bleibt jedoch die Tatsache, daß die Preußen bis etwa 14.0 Uhr vom Schlachtfeld aus gesehen hinter der Hügelkuppe hielten, am also trotzdem um 13.00 Uhr kein großen Truppenmassen erblicken konnte.

                      Kommentar

                      • Mephisto
                        Erfahrener Benutzer
                        Capitaine
                        • 01.10.2006
                        • 625

                        #56
                        Hallo Sanc-Souci,

                        Habe auch schon an das Observatorium gedacht, aber keinen Anhalt gefunden, daß es von den Franzosen genutzt worden ist.
                        Gruß
                        Mephisto

                        "Es sind zwey Formeln, in denen sich die sämmtliche Opposition gegen Napoleon befassen und aussprechen lässt,
                        nämlich Afterredung (aus Besserwissenwollen) und Hypochondrie." Goethe 1807 :attention:

                        Kommentar

                        • HKDW
                          Erfahrener Benutzer
                          Colonel
                          • 02.10.2006
                          • 2971

                          #57
                          @Mephisto

                          Kannst du auch noch bitte die Seite angeben - wo du das gefunden hast (Thurn und Taxis).

                          Ansonsten ignorier ich gar nichts - sondern verweise auf meine These, das eben solche Brief nur Sand ins Augs streuen sollen um vor der Wirklichkeit abzulenken.

                          Meine Ausführungen sind eigentlich schon viel zu weit und viel zu detailiert geworden - ich wollte nur mal einen Aspekt aus den Buch genauer beleuchten, meines Erachtens eben die Kernfrage.

                          Ich werde aber nochmal nachlesen - auch in den Carnets.

                          Kommentar

                          • muheijo
                            Erfahrener Benutzer
                            Capitaine
                            • 01.10.2006
                            • 553

                            #58
                            Wir sind ja nun nicht die Ersten, die sich mit Waterloo befassen.
                            Eine sehr spannende Arbeit habe ich im Netz gefunden:

                            Da hat ein Pierre de Wit viel zusammengetragen.

                            Zum aktuellen Thema natuerlich auch. Interessant fand ich u.a., dass es neben dem Brief an Grouchy von 13.00 Uhr auch einen weiteren Brief an Davout (damals Kriegsminister in Paris) geben soll, abgesandt ca. 14.30 Uhr:

                            P.S. Il est deux heures et demie; la canonnade est engagée sur toute la ligne; les Anglais sont au centre, les Hollandais et Belges à droite des troupes allemandes, les Prussiens sont à la gauche; la bataille est générale; quatre cent bouches à feu tonnent en ce moment.


                            Natuerlich møglich, das dieses post scriptum gefælscht wurde, das kann ich nicht beurteilen. Jedenfalls læsst dies zu, dass der ominøse preussische Offizier anscheinend doch abgefangen wurde (in welcher Uniform auch immer - de Wit geht darauf ein) und/oder Preussen gesichtet wurden.
                            Jedenfalls sehr einleuchtend scheint mir, dass Napoleon nach Grouchys letzter Meldung (angekommen gegen 10 Uhr) das Erscheinen von Preussen (in unbekannter Zahl) in Betracht ziehen musste/in Betracht gezogen hat.
                            (næheres dann in dem Link zu Pierre de Wit)

                            Gruss, muheijo
                            Zuletzt geändert von muheijo; 05.10.2012, 08:39.

                            Kommentar

                            • Mephisto
                              Erfahrener Benutzer
                              Capitaine
                              • 01.10.2006
                              • 625

                              #59
                              Muheijo,

                              Das ist ein wertvolles Extra.
                              Nun haben wir schon zwei Post Scripti, die es nicht geben dürfte.

                              HKDW,

                              Seitenzahlen kommen heute noch.
                              Zuletzt geändert von Mephisto; 05.10.2012, 09:35.
                              Gruß
                              Mephisto

                              "Es sind zwey Formeln, in denen sich die sämmtliche Opposition gegen Napoleon befassen und aussprechen lässt,
                              nämlich Afterredung (aus Besserwissenwollen) und Hypochondrie." Goethe 1807 :attention:

                              Kommentar

                              • KDF10
                                Erfahrener Benutzer
                                Chef de Bataillon
                                • 19.12.2010
                                • 1278

                                #60
                                Pierre de Wit scheint nicht irgendein Autor zu sein, sondern hat auch an diesem Buch mitgearbeitet http://www.amazon.ca/Waterloo-Nether.../dp/0956339328

                                Kommentar

                                Lädt...
                                X
                                😀
                                😂
                                🥰
                                😘
                                🤢
                                😎
                                😞
                                😡
                                👍
                                👎