So, da nun niemand vorgeschlagen hat wie man den neuen Thread benennen soll leg nun ich las, ansonsten ist es zu verwirrend den 13 / 14 Oktober thread mit den Thread um Barby zu verknüpfen.
so genug mit dem Small Talk, wenn ich Foucart zitiere ist es immer der Teissedre Nachdruck und falls nicht anders angegeben der Band2
15 OCTOBRE
Le Major Général au Maréchal Bernadotte.
Iéna, 15 octobre 1806, 5 heures du matin.
L’Empereur, m. le Maréchal, ordonne que vous vous portiez sur Neustädt, Reussdorf et Seena, qui est un débouché de la route de Weimar à Naumburg, et où il y a un embranchement de chemin qui conduit sur Magdeburg par Nebra et Querfurt.
Si vous avez un bon chemin pour vous rendre à Neustädt et que vous y arriviez de bonne heure, vous ferez sûrement un grand nombre de prisonniers. L’Empereur pense que vous êtes assez fort pour donner tête baisée sur tout ce qui voudra résister. Il n’y rien de ce côte qui ne doive être battue par votre corps d’armée.
Le maréchal Davout reçoit l’ordre de se rendre à Naumburg ; vous vous mettrez en communication avec lui.
Foucart, Prenzlow – Lübeck, S. 1-2
Le Major Général au Maréchal Davout.
Iéna, 15 octobre 1806, 5 heures du matin.
L’Empereur ordonne, M. le Maréchal, que vous retourniez avec votre corps d’armée à Naumburg.
Le maréchal Bernadotte se porte à Neustädt, petit endroit sur la route de Weimar à Naumburg et où se trouve l’embranchement d’une autre route qui conduite à Magdeburg. Il a l’ordre de se mettre en communication avec vous.
Foucart, S.2
Le Major Général au Grand-Duc de Berg.
Iéna, 15 octobre 1806, 5 heures et demie du matin.
Je vous préviens, mon Prince, que l’Empereur donne l’ordre à maréchal Davout de retourner à Naumburg et au maréchal Bernadotte de couper la route de Weimar à Naumburg à mi-chemin. Quant à la direction qu’a prise l’ennemi, tout port à penser que c’est sur Erfurt, car l’ennemi devant vouloir se retirer sur Magdeburg, c’est sa route ; mais il n’y a que votre cavalerie qui puisse donner des renseignements précis là-dessus ; il faut donc que, le plus tôt possible, vous vous mettiez en marche avec la cavalerie pour vous diriger sur Erfurt ; vous en dirigerez une partie sur Buttelstädt. L’Empereur pense que l’ennemi, d’Erfurt, aura pris la route de Weissensee ; il est donc de la plus grande importance d’avoir Erfurt dans la journée.. L’Empereur ordonne au maréchal Ney de se mettre en marche sur Erfurt pour soutenir votre marche.
S. M. vous autorise à donner l’ordre au général qui a ses troupes le plus près sur la route de Buttelstädt, de soutenir la cavalerie que vous faites marcher dans cette direction.
F. S. 2-3
Le Major Général au Maréchal Bernadotte.
Iéna, 15 octobre 1806, 10 heures du matin.
L’aide de camp du maréchal Davout qui vous porte cette lettre (C’est l’officier qui a porté à l’Empereur le rapport du maréchal Davout du 14, bivouac d’Auerstädt. Voir Iéna, page 672.),M. le Maréchal, vous fera connaître ce qui lui est arrivé hier ; cela nécessite de vous mettre à la poursuite du corps ennemi qu’il a combattu.
L’ordre que je vous ai envoyé il y a 2 heures, paraît à l’Empereur prévenir ce que vous devez faire ; cependant vous êtes le maître de manœuvrer comme les circonstances vous l’indiqueront. Faites le plus de mal possible à l’ennemi, ayant soin cependant d’attaquer le corps qui a été opposé au maréchal Davout, s’il était possible qu’il fût resté en position, ce qui serait la plus grande folié ; dans ce cas, poursuivez vivement ce corps. Si, n’ayant été instruit que tard des succès de la bataille hier, il avait hésité de se retirer et mis de l’incertitude dans son mouvement, détruisez-le.
Tenez-vous le plus possible dans une position à être le corps d’armée le plus près de Naumburg, hormis de maréchal Davout, de sorte que lorsque le mouvement de l’ennemi sera bien connu, vous soyez prêt à vous porter sur l’Elbe et Berlin, pouvant, de votre position, vous porter en une journée sur Naumburg.
F. S. 5
Le Major Général au Maréchal Davout.
Iéna, 15 octobre 1806, 10 heures du matin.
Je vous envoie, M. le Maréchal, copie de la lettre que j’écris au maréchal Bernadotte qui était ce matin à Apolda et qui marche sur Neustädt vers Nebra. Il doit prendre position à Neustädt.
L’intention de l’Empereur, M. le Maréchal, est que vous couvriez Naumburg, que vous poursuivez et battiez le corps que vous avez devant vous, si toutefois il n’a pas disparu, comme tout porte à le penser ; cependant vous ne devez pas trop vous acharner à la poursuivre, de manière à ce que vous soyez plus en position de couvrir Naumburg qui est l’objet important, l’intention de l’Empereur étant toujours d’avoir votre corps d’armée dans une position telle qu’il puisse arriver à Leipzig et sur l’Elbe avant l’ennemi.
F. S.6
Also - die Befehle gehen um 05:00 raus, der Bericht Davouts vom 14. Oktober - wo er seinen Kampf gegen die Preußen (die er auf 60 000 Mann geschätzt hat) wird erst mal völlig ignoriert, Bernadotte erfährt nicht, auch nicht Murat und auch Davout soll noch operative tätig werden, obwohl Napoleon eigentlich intelligent genug was um zu sehen das das Corps Davout nach so einen Kampf eigentlich dringest Erholung brauchen würde.
Napoleon organisiert jedenfalls bereits die Verfolgung und eine 3 fache Stoßrichtung wird erkenntlich, Murat und diverse Marschälle die linke Flanke - Bernadotte das Zentrum und Davout the rechte Flanke.
Um 10 Uhr erfährt dann Bernadotte dass er ein Corps des Gegner vor sich haben würde, oder die Reste davon, mit dem sich Davout abgegeben hatte - obwohl Davout klipp und klar von 60 000 Mann gesprochen hatte (Preußen bei Auerstedt - ca 50 000 Mann, Napoleon hat immerhin die Preußen bei Jena auf 150 00 mann geschätzt, oder so schreibt er angeberisch an Josphine).
Bernadotte gehen also falsch Infomrationen zu, nicht zu Vergessen ist ja das Reservekorps von Württemberg.
Interessanterweise erhält dann Bernadotte einen völlig offenen Befehl, er kann lassen und tun was er will - da die kleine Kristallkugel des Kaisers hier wohl versagt.
Also wird Bernadotte doch hier gerade für fähig gehalten völlig selbstständig zu handeln.
so genug mit dem Small Talk, wenn ich Foucart zitiere ist es immer der Teissedre Nachdruck und falls nicht anders angegeben der Band2
15 OCTOBRE
Le Major Général au Maréchal Bernadotte.
Iéna, 15 octobre 1806, 5 heures du matin.
L’Empereur, m. le Maréchal, ordonne que vous vous portiez sur Neustädt, Reussdorf et Seena, qui est un débouché de la route de Weimar à Naumburg, et où il y a un embranchement de chemin qui conduit sur Magdeburg par Nebra et Querfurt.
Si vous avez un bon chemin pour vous rendre à Neustädt et que vous y arriviez de bonne heure, vous ferez sûrement un grand nombre de prisonniers. L’Empereur pense que vous êtes assez fort pour donner tête baisée sur tout ce qui voudra résister. Il n’y rien de ce côte qui ne doive être battue par votre corps d’armée.
Le maréchal Davout reçoit l’ordre de se rendre à Naumburg ; vous vous mettrez en communication avec lui.
Foucart, Prenzlow – Lübeck, S. 1-2
Le Major Général au Maréchal Davout.
Iéna, 15 octobre 1806, 5 heures du matin.
L’Empereur ordonne, M. le Maréchal, que vous retourniez avec votre corps d’armée à Naumburg.
Le maréchal Bernadotte se porte à Neustädt, petit endroit sur la route de Weimar à Naumburg et où se trouve l’embranchement d’une autre route qui conduite à Magdeburg. Il a l’ordre de se mettre en communication avec vous.
Foucart, S.2
Le Major Général au Grand-Duc de Berg.
Iéna, 15 octobre 1806, 5 heures et demie du matin.
Je vous préviens, mon Prince, que l’Empereur donne l’ordre à maréchal Davout de retourner à Naumburg et au maréchal Bernadotte de couper la route de Weimar à Naumburg à mi-chemin. Quant à la direction qu’a prise l’ennemi, tout port à penser que c’est sur Erfurt, car l’ennemi devant vouloir se retirer sur Magdeburg, c’est sa route ; mais il n’y a que votre cavalerie qui puisse donner des renseignements précis là-dessus ; il faut donc que, le plus tôt possible, vous vous mettiez en marche avec la cavalerie pour vous diriger sur Erfurt ; vous en dirigerez une partie sur Buttelstädt. L’Empereur pense que l’ennemi, d’Erfurt, aura pris la route de Weissensee ; il est donc de la plus grande importance d’avoir Erfurt dans la journée.. L’Empereur ordonne au maréchal Ney de se mettre en marche sur Erfurt pour soutenir votre marche.
S. M. vous autorise à donner l’ordre au général qui a ses troupes le plus près sur la route de Buttelstädt, de soutenir la cavalerie que vous faites marcher dans cette direction.
F. S. 2-3
Le Major Général au Maréchal Bernadotte.
Iéna, 15 octobre 1806, 10 heures du matin.
L’aide de camp du maréchal Davout qui vous porte cette lettre (C’est l’officier qui a porté à l’Empereur le rapport du maréchal Davout du 14, bivouac d’Auerstädt. Voir Iéna, page 672.),M. le Maréchal, vous fera connaître ce qui lui est arrivé hier ; cela nécessite de vous mettre à la poursuite du corps ennemi qu’il a combattu.
L’ordre que je vous ai envoyé il y a 2 heures, paraît à l’Empereur prévenir ce que vous devez faire ; cependant vous êtes le maître de manœuvrer comme les circonstances vous l’indiqueront. Faites le plus de mal possible à l’ennemi, ayant soin cependant d’attaquer le corps qui a été opposé au maréchal Davout, s’il était possible qu’il fût resté en position, ce qui serait la plus grande folié ; dans ce cas, poursuivez vivement ce corps. Si, n’ayant été instruit que tard des succès de la bataille hier, il avait hésité de se retirer et mis de l’incertitude dans son mouvement, détruisez-le.
Tenez-vous le plus possible dans une position à être le corps d’armée le plus près de Naumburg, hormis de maréchal Davout, de sorte que lorsque le mouvement de l’ennemi sera bien connu, vous soyez prêt à vous porter sur l’Elbe et Berlin, pouvant, de votre position, vous porter en une journée sur Naumburg.
F. S. 5
Le Major Général au Maréchal Davout.
Iéna, 15 octobre 1806, 10 heures du matin.
Je vous envoie, M. le Maréchal, copie de la lettre que j’écris au maréchal Bernadotte qui était ce matin à Apolda et qui marche sur Neustädt vers Nebra. Il doit prendre position à Neustädt.
L’intention de l’Empereur, M. le Maréchal, est que vous couvriez Naumburg, que vous poursuivez et battiez le corps que vous avez devant vous, si toutefois il n’a pas disparu, comme tout porte à le penser ; cependant vous ne devez pas trop vous acharner à la poursuivre, de manière à ce que vous soyez plus en position de couvrir Naumburg qui est l’objet important, l’intention de l’Empereur étant toujours d’avoir votre corps d’armée dans une position telle qu’il puisse arriver à Leipzig et sur l’Elbe avant l’ennemi.
F. S.6
Also - die Befehle gehen um 05:00 raus, der Bericht Davouts vom 14. Oktober - wo er seinen Kampf gegen die Preußen (die er auf 60 000 Mann geschätzt hat) wird erst mal völlig ignoriert, Bernadotte erfährt nicht, auch nicht Murat und auch Davout soll noch operative tätig werden, obwohl Napoleon eigentlich intelligent genug was um zu sehen das das Corps Davout nach so einen Kampf eigentlich dringest Erholung brauchen würde.
Napoleon organisiert jedenfalls bereits die Verfolgung und eine 3 fache Stoßrichtung wird erkenntlich, Murat und diverse Marschälle die linke Flanke - Bernadotte das Zentrum und Davout the rechte Flanke.
Um 10 Uhr erfährt dann Bernadotte dass er ein Corps des Gegner vor sich haben würde, oder die Reste davon, mit dem sich Davout abgegeben hatte - obwohl Davout klipp und klar von 60 000 Mann gesprochen hatte (Preußen bei Auerstedt - ca 50 000 Mann, Napoleon hat immerhin die Preußen bei Jena auf 150 00 mann geschätzt, oder so schreibt er angeberisch an Josphine).
Bernadotte gehen also falsch Infomrationen zu, nicht zu Vergessen ist ja das Reservekorps von Württemberg.
Interessanterweise erhält dann Bernadotte einen völlig offenen Befehl, er kann lassen und tun was er will - da die kleine Kristallkugel des Kaisers hier wohl versagt.
Also wird Bernadotte doch hier gerade für fähig gehalten völlig selbstständig zu handeln.
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